Chaz Lincoln

« Avant tout, parlons de l'écrivain »

Sur le web, on me connait sous le pseudo de Mathilde/pepete55 Je suis âgé de 19 ans et au dernière nouvelle je suis une fille. J'ai connu Be-Careful grâce à mes autres personnages Mon avis sur le forum est cool Lorsque je ne poste pas d'absence, je m'engage à être présent et actif un minimum de tous les jours. Code du règlement VAlidée pAr HAnnA Pour finir, anthropomorphique (Je sais pas pourquoi cette référence à Logan ^^)

Chaz Lincoln
«No one knows what's going on in someone else's mind and life would be intolerable if we did»
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

« Le personnage »

Toutes mes salutations à vous, je me présente, [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Je suis né à [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] le [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Mon statut est actuellement [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] et je suis fière de dire que je suis [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Je gagne ma vie en étant [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Je fais partie des [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] et mon avatar est celui de [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien].

« Ton caractère de cochon »

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]Mêlant mes études, mes stages, mon volontariat à la caserne des pompiers et le sport que je pratique régulièrement, on ne peut pas dire que j'ai beaucoup de temps pour me tourner les pouces. J'ai beaucoup d'énergie mais le manque de sommeil fait que mes batteries sont souvent à plat et que je suis devenu un accro à la caféine. Mais il vaut mieux être accro à ça qu'à autre chose, je suis bien placé pour le savoir. Je suis pourtant calme et serein et je prends toujours le temps de réfléchir. Je ne me laisse jamais dépasser par les événements et essaye toujours de prendre les meilleurs décisions, même si j'ai tendance à être très indécis.

Foncièrement bon, je suis toujours prêt à aider les autres. Je suis une oreille attentive, toujours sincère et loyal, cependant ma réserve, mon besoin d'indépendance et mon manque de disponibilité m'empêchent de me lier avec beaucoup de gens.

Je préfère souvent rester silencieux. Le silence vaut souvent mieux que les grands discours et quand je sais que ce que je peux dire pourrait blesser quelqu'un, je me contente de me retenir. Je ne suis clairement pas quelqu'un qui cherche les ennuis. J'aurais tendance à me fondre dans la foule en essayant de ne pas me faire remarquer.

Mes parents sont divorcés. J'entretiens une relation plutôt froide avec l'un comme l'autre. Ma famille n'a jamais été très portée sur l'épanchement des sentiments. Nos échanges ne comportent que des banalités. On parle de vie professionnelle, de réussites, de projets, de buts, mais jamais de vie personnelle. C'est peut être une raison pour laquelle j'ai du mal à me confier - chose que mes amis et ex-petites-amies ont eu l'occasion de me reprocher.

Je vis constamment avec un sentiment de culpabilité et j'espère chaque jour que mes bonnes actions pourront me racheter...

« Raconte-moi ton histoire... »

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]Je suis né à Belfast en Irlande du Nord un certain 18 mars d'un père pédiatre et d'une mère infirmière. Autant dire que j'ai toujours baigné dans le milieu médical. J'ai passé 10 de ma vie là-bas, principalement élevé par ma nourrice étant donné que mon père était trop porté sur le travail et ma mère sur son attrait à la bouteille. Une chose est sûre, c'est que dans la relation entre mes parents, la bouteille a fini par gagner ! Mes parents ont fini par se séparer. Une fois le divorce prononcé et la garde accordée à mon père, nous avons déménagé à Rosewood aux Etats-Unis où il avait trouvé un nouveau poste. Depuis ce jour, je n'ai eu l'occasion de parler à ma mère qu'à travers le téléphone. On s'appelait une fois par mois et à vrai dire, on n'avait jamais rien à se raconter. Je me souvenais des bouteilles qu'elle planquait partout dans la maison, de son haleine chargée d'alcool quand elle me parlait, des frasques qu'elle faisait. Je n'avais gardé que ces souvenirs là et avait du mal à la considérer comme une mère. Pour ce qui est de mon père, il n'est que cet inconnu grisonnant avec qui je partage un repas une fois par semaine et qui me pousse à faire des études dans le milieu médical.

Si mon enfance avait été relativement calme, mon adolescence n'a pas été de tout repos. C'est bien connu, quand on manque d'attention, on cherche à l'attirer. Avec personne pour se préoccuper de quoi que ce soit, me surveiller, me donner des limites et me réprimander, je m'étais mis à sortir tout le temps. Je séchais, traînais, faisais la fête. L'alcool était toujours de la partie et il avait fini par m'accompagner dans ma vie quotidienne. Je buvais le matin à peine levé et il me suivait dans la journée. Porter une flasque ou une bouteille à ma bouche était devenu un geste habituel duquel je ne pouvais plus me défaire. Quand mon père l'a appris, il s'est contenté de me prévenir. Il m'a expliqué que l'alcoolisme avait un facteur génétique. Ma mère l'était, comme l'avait été une grande partie de ma famille maternelle. Il m'a mis en garde et m'a dit que si je souhaitais gâcher ma vie, il ne me rattraperait pas. Je ne l'ai pas écouté. Il m'arrivait de vider plusieurs bouteilles dans la journée. Sont ainsi survenus les black-out, les engourdissements, les tremblements. J'avais perdu le contrôle. Aigri, violent, impulsif, je perdis rapidement une grande partie de mes amis et avais adopté un comportement "à risque". J'étais paumé, vidé, désoeuvré.

Un jour, tout vola en éclat. J'avais pris le volant et j'avais bu. Bien trop bu. Je perdis le contrôle du véhicule et percutai de plein fouet une autre voiture. J'ignore comment j'y survécu, ni pourquoi, mais le fait est que je n'en sortis qu'avec des blessures superficielles. Ce qui n'était pas le cas de la personne qui conduisait l'autre voiture. Quand j'avais appris lors de ma garde à vue que cette personne était entre la vie et la mort, je m'étais effondré. Je n'arrivais pas à croire ce que j'avais fait. Ce n'était pas moi, c'était impossible. Je revoyais les phares de la voiture en face de moi m'aveugler, je frissonnais en me remémorant le crissement de pneu, le choc, puis le trou noir... Les jours qui suivirent, je fus incapable d'avaler quoi que ce soit sans le régurgiter par la suite. Je ne pouvais pas fermer l'oeil de la nuit, rongé par l'appréhension.
Quelques jours avant mon procès, on me fit part de l'état de la victime et on me montra des photos. Une jeune femme de 20 ans. Son corps était en grande partie brûlé, elle était défigurée et partiellement paralysée. C'était ignoble. Il n'y avait pas de mots pour la décrire. Regarder sa photo me donnait des hauts-le-coeur et j'en étais l'unique responsable. Elle avait perdu son visage, elle aurait du mal à parler et à faire des gestes quotidiens. Elle ne se réintégrerait jamais dans la société, elle n'aurait pas d'avenir. J'avais détruit sa vie.

Encore mineur et défendu par un très bon avocat, je ne fus condamné qu'à des travaux d'intérêt général et la prise en charge financière de tous les frais médicaux de la victime. Mon père avança l'argent mais me fit bien comprendre que j'avais une dette à payer.
Au delà de ma dette financière, je sentais avoir une dette morale à payer. Pour la vie que j'avais prise, il faudrait que je me rachète. C'est de là que j'ai décidé de me lancer dans les études de médecine et de me porter volontaire à la caserne de pompiers. Aider les autres, sauver des vies, j'en avais fait ma vocation et j'étais prêt à sacrifier tout mon temps pour ça parce que jamais je n'arriverais à faire disparaître la culpabilité.
Les cauchemars et les versements d'argent que je dois faire à ma victime sont là pour me rappeler mon acte. Mais je n'ai jamais osé aller la voir. Je suis tétanisé rien que d'y penser...

Je suis maintenant en sixième année de médecine, ma dernière année d'externat avant que j'aie à choisir ma spécialité. J'espère bien me diriger vers la chirurgie réparatrice. J'ai déjà fait des stages dans les domaines de l'anesthésie, la cardiologie, la neurologie et la chirurgie ambulatoire. Je suis actuellement en stage dans le pôle de la gynécologie obstétrique combiné au planning familial de l'hôpital de Rosewood. J'avoue que j'ai un peu cru à une farce quand je me suis retrouvé là ! Je ne sais pas si ce sont les femmes qui sont plus embarrassées ou moi lors des examinations. Et parler IVG et contraceptifs avec des jeunes filles mineures n'est pas forcément plus amusant.

code de fiche présentation (c) SweetieBay

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AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH ENFIN CHAZ!!! Depuis le temps qu'on l'attendait!!!!!!!!!!!!
Je me connecte avec Hanna et je te valiiiiiiiiiiiide!!! crazy!

On va prendre ça pour un message de bienvenue ! ^^
Merci =)

Faut absoluent un sujet Chaz Lincoln 302102601

Bref' t'es validé ^^

Haha ! Bizarrement je crois que je vais avoir des sujets plus facilement avec toi maintenant ! ^^
Merci pour la validation ! =)

WAOUH ! *-*

Je sais, c'est aussi ma réaction chaque fois que je le vois ^^

Je veux absolument un lien ou un sujet Mad

Bienvenue a toi !

Pas de drogué ! Tu as fait comment ?
En tout les cas, je pense que tu es ravie de ton perso ^^

A bientôt sur le RP ^^

Pas de soucis pour le lien ou sujet avec Mona

Et merci V =)
Pas drogué mais ancien alcoolique, il faut toujours un petit truc ^^
J'en suis ravie de mon perso effectivement !