Melissa et Gaby: Je ne t’aime pas.

Melissa était en train de manger un hot dog bien chaud dans le parc. C’était son moment de détente à elle. Quand elle eut finit, elle se leva afin de jeter sa serviette en papier.Seul bémol ? Elle rentra de plein fouet dans une jeune fille…

J'étais en train de manger un hot-dog bien chaud au parc. Je faisais souvent ça , j'aimais bien , ça me détendait. Puis les hot-dogs c'est trop bon, autant en profiter. Une fois , l'hot-dog fini , je me levai pour aller jeter la serviette à la poubelle. Seulement , par mégarde , je rentra de plein fouet dans une fille. Je la regardai, d'un air désolé.

- Excusez-moi , je regardais pas trop où j'allais.

J'haussai les épaules avant d'aller vers la poubelle qui était juste à un pas d'ici sans me soucier de la fille après tout elle aurait pu m'éviter aussi.

Gab avait besoin de prendre l'air, elle avait passée toute la matinée à tenter de faire un montage photo pour le Yearbook que lui avait demandé Lucas, mais elle n'était pas parvenue au résultat qu'elle avait voulut. La jeune femme avait posée, enlevée et replacé les photos des membres de la fanfare puisqu'elle était en train de travailler sur leur page, mais elle n'était arrivée à rien d'autre que l'obtention d'une migraine carabinée.
Gabriella avait donc laissé en plant le travail en question pour aller s'aérer la tête et pour se faire, elle se rendit au parc. L'endroit était envahit de monde, se qui était compréhensible puisque le soleil était au beau fixe.
Pendant qu'elle se trouvait là, elle se dirigea vers un marchant de journaux ambulant pour y prendre un journal fait pour les adolescentes et qui montrait tout les points important de la mode actuelle, mais les pages étaient volantes se qui était un point vraiment négatif pour la jeune fille qui ne comprenait pas pourquoi elles n'avaient pas été relié comme la grande majorité des magazines qu'elle avait l'abitude de lire.
Elle l'avait glissé en dessous de son bras et elle avançait en allant droit devant elle, en tout cas s'était le cas avant qu'une jeune femme lui rentre dedans sans faire attention à l'endroit où elle mettait les pieds.
La jeune personne qui avait provoqué la colision prit la parole pour s'excuser.

- Excusez-moi , je regardais pas trop où j'allais.

Le fait qu'elle se soit excusez aurait put passée si seulement le journal n'était pas tomber pour s'envoler au quatre vent sous le regard emplit de colére qu'avait la jeune Gab. Elle n'avait pas la force de courir à travers tout le parc pour tenter de retrouver l'ensemble des quatorze double pages que contenait le journal qui était maintenant, pour la jeune fille, imposible de lire.

- S'est bien beau de s'excusez, mais maintenant je fais quoi moi, je galope à travers le parc? Non mais vraiment.

Gabriella avait prononcer ses mots plus pour elle que pour la jeune femme qui avait continuer sa route aprés avoir pronocer quelques mots pour tenter de se trouver une excuse qui, pour Gab, était bidon. Elle ne connaissait pas la jeune femme, mais s'était un fait pour elle, elle ne l'aimait pas et cela n'était pas prêt de changer.

Je jetai la serviette à la poubelle et retournai vers la fille - qui d'ailleurs ne m'inspirait pas-. Je la regardai elle avait pas l'air mal en point, elle a donc pas besoin d'aide je pense, enfin si juste pour son journal qui s'était envolé. J'allai passer mon chemin et retourner m'asseoir quand elle dit " C'est bien beau de s'excuser, mais maintenant je fais quoi moi, je galope à travers le parc ? Non mais vraiment. " . Elle voulait peut-être pas que j'entende mais j'avais entendu. Si elle croit que je vais aller chercher son journal ou la venir en aide après ça.

- Pourquoi pas ? Ça te feras faire du sport. Non, sérieusement crois pas que je vais courir derrière ton journal pour ado' qui ont besoin de ça pour savoir s'habiller. Donc tu peux déjà commencer à galoper.

Ça n'allait pas passer avec elle, d'après mes premières impressions cette fille était spéciale et complètement stupide. Encore une de ces gamines écervelées.

Pour Gabriella s'en était trop. Elle ne comprenait pas comment une jeune femme qu'elle ne connaissait pas pouvait lui parraitre si ennervante et elle n'arrivait pas à comprendre comment elle pouvait se permettre de la juger. La jeune femme plissa les yeux et se tourna vers la jeune femme qui l'avait bousculer et qui était responsable de tout les événements qui s'était enchaîner.
Gabriella était convaincu que cela n'était pas terminé, mais pour le moment, elle avait des comptes à régler avec l'inconnue qui commencait sérieusement à tapper sur les nerfs de la jeune fille.
Elle la fixait avec un regard noir à la jeune femme avant de prendre la parole sur un ton qui laissait percer la colére qui commencait à envahir Gab.

- Non, mais pour qui te prends tu? Si tu crois que s'est toi qui peux me donner des lecons sur ma manière de m'habiller ou sur se que je suis en droit de lire, tu devrais tout d'abord te regarder dans une glace avec ton look qui date de la guerre quatorze dix-huit.

gab était maintenant dans un tel état de nerf qu'elle était à la limite de se mettre à hurler contre la jeune fille.

Elle me lança un regard noir, ce qu'elle comprend pas c'est que j'ai plus son âge et que j'ai pas trop envie de me prendre la tête avec des filles comme elles. Mais à partir du moment où on me cherche et qu'on m'énerve, je peux que répondre et c'est impossible que je me laisse faire. J'avais bien envie de lui cloué le bec à celle-là.

- Oh my god. T'aurais pu trouver un truc mieux parce que franchement là tu fais pitié ma p'tite. Ecoute moi bien, j'ai pas ton âge, va plutôt saouler les filles comme toi. Puis mes vêtements qui datent soi-disant de la guerre quatorze dix-huit j'les aime bien. Au moins je vais pas chercher mes vêtements dans des magazines pour les gens incultivés.

Je la regardai en souriant

Alors là s'en était trop pour la jeune Gabriella, la jeune femme qui lui était entrée dedans, causant la perte de son magasine, était en train de la provoquer. Elle avait beau être plus vieille qu'elle, Gab n'avait pas peur et elle n'était pas prête de craindre la provocatrice. Elle fit un pas en avant pour se raprocher de la jeune femme avant de prendre la parole :

- Tu crois vraiment que je vais avoir peur d'une grand-mère? Et encore plus l'écouter?

Non, mais franchement. Si elle tenait à l'attaquer sur sa manière d'être, elle était loin de pouvoir trouver le point sensible de la jeune Gabriella. Celle ci secoua la tête de droite à gauche pour montrer à la provocatrice que ce qu'elle venait de dire était bien plus ridicule que ses propres paroles. Toutefois elle ajouta la parole à ce geste.

- Tu crois vraiment que tes répliques sembles plus intélligente que les miennes? Franchement, si s'est ta manière te penser, s'est toi qui parrait totalement ridicule. Je peux te le garantir.

Cette fois gab était vraiment en colère et dans ses cas là, elle était cappable de tout pour parvenir à remporter le combat.

Je rêve ! Me traiter de grand-mère ! J'aurais mieux fais de regarder où j'allais et de pas la bousculer parce que là elle commence sérieusement à me gonfler. Si je lui saute pas dessus dans les minutes qui suivent, c'est qu'il y a un miracle. En plus elle s'est avancée vers moi. non mais vraiment, pathétique celle-là !

- Une grand-mère. Tss ! Change tes propos, je suis loin d'être une grand-mère. Je suis peut-être plus âgée que toi mais pas à ce point-là.

Je fis mine d'être vexée.

- J'ai jamais dis ça. Ecoute là t'es vraiment en train de m'énerver et j'suis sur le point de faire quelque chose que j'vais regretter. Donc tu ferais mieux de t'en aller.

Gabriella partir? Se n'était pas vraiment le genre de comportement qu'avait l'habitude de prendre la jeune femme. Elle avait envie de rester là, en face de la vieille femme qui était en train de la menacer, pour voir ce qu'elle allait faire.
Gab avait aprit une chose dans le dommaine de la bagare, s'était la première personne à frapper qui avait des ennuies avec la justice et elle n'avait pas l'intention de devenir cette personne, mais elle était vraiment en train de devenir rouge de colère en entendant parler la brute qui l'avait bousculer.
Gabriella vit de nouveau un pas en avant pour être beaucoup plus prêt de son interlocutrice. Elle posa l'index de sa main droite sur la jeune femme avant de prendre la parole de nouveau :

- Ecoute moi bien, la vieille bique. Ce n'est pas une stupide chouette qui va me dire ce que je suis cencé faire. Si l'une d'entre nous doit prendre la poudre des scampettes, s'est toi. Tu à le toupet de me menacer alors que tu n'est pas fichu de mettre un pied devant l'autre sans butter dans âme qui vivent. Tu ne me fait absolument pas peur l'empotée.

Gab avait dit tout ce qu'elle pensait en une seule phrase, enfin tout ce qu'elle avait envie de dire en se moment, car elle était sur que la peste qui était en train de s'en prendre à elle n'était pas prêt de la lâcher et Gabriella n'avait pas l'intention de lâcher prise en première.

Je la regardai et l'écoutai attentivement avant de lui lancer un regard noir. J'espère juste que Spencer sera jamais avec cette idiote de fille, je veux pas qu'elle devienne comme elle. Bref. Je l'écoutai faire son long et stupide roman. Elle avait posé son doigt sur moi, je pris soin de l'enlever et fis une grimace.

- Me touche pas s'il te plaît.

Je soupirai.Agaçante. C'est pas pour dire mais elle avait cassé mon moment de tranquillité.

- Je partirai sûrement pas, surtout car sa te ferais plaisir et je veux pas te rendre cette satisfaction. A présent, c'est toi qui me menace je te ferais dire.

Empotée en plus. elle m'énervait sérieusement. Ni une, ni moins. Un geste,une réaction . Je l'avais giflée, elle m'avait gonflée,c'est tout ce qu'elle méritait et ce qu'elle attendait.

Cette fille était folle, s'était un fait. Gab s'en était rendu compte depuis le début de la conversation, mais maintenant qu'elle avait osée lui envoyer sa main à la figure, elle allait amérement le regréter.
Elle ne connaissait pas Gabriella et elle allait l'apprendre maintenant. Gab s'avait qu'elle pouvait maintenant l'attaquer à son tour. Elle aurait moins de soucis avec cela puisque que s'était la vieille bique qui l'avait frappée la première.
La tête de la jeune Gab était partie sur le côté, accompagnant le geste, lorsqu'elle avait recut la main de son interlocutrice sur la joue. Lorsqu'elle reposa le regard, devenue complement noir, elle sourit légérement à la jeune femme qui était en face d'elle avant de prendre de nouveau la parole :

- Tu va me payer cela ma vieille.

Gab s'accroupi et ramassa de la terre sans le moindre cailloux avant de se redresser. Elle fit disparaitre son sourire avant de lancer la terre en plein visage de la jeune femme avant de la giffler à son tour. Gab aussi en était venue aux mains, mais contrairement à la vieille bique, s'était pour se défendre, elle n'allait pas se laisser marcher sur les pieds par une empotée.

Elle me dit que j'allais le payer.

- J'attends, j'ai pas peur.

Elle m'avait lancé de la terre et m'avait giflé. Je la regardai normalement pas touché par ce qu'elle m'avait fait - un peu énervée quand même-. Le pire était la terre. Je crachai pour si au cas où j'en avais dans la bouche.

- Ca s'est pour m'avoir reglifler.

Je la giflais à nouveau.

- Et ça pour m'avoir balancer de la terre, débile !

Je lui donnai un coup de poing tranquillement. Comme si j'allais me laisser faire par une fillette.

Gabriella était tombée sur la vrai folle de Rosewood. Cette dernière venait de la giffler de nouveau avant de lui donner un coup de point qui n'avait pas été attendrit par la propriètaire de la main close.
Gab fit passer le côté de son index, le même qui avait toucher la vieille bique, afin de retiré la pousiére qui avait été déposé par le poing de la femme.
Cette fois, elle avait été trop loin et Gab allait le lui faire comprendre. Cette dernière avanca davantage pour se rapprocher de la vieille bique stupide avant de prendre la parole :

- Tu es cinglé ma vieille et totalement bonne à enfermée. Tu vas me payer au centuple l'affront que tu vien de me faire, je te le promet.

Gabriella posa ses deux mains à plat sur le devant de la jeune femme, au niveau des épaules et elle poussa de toute ses forces faisant tomber en arrière la vieille bique. Une fois celle ci à terre, elle s'accroupit, lui attrappa les cheveux se trouvant à l'arrière de la tête de la folle dingue avant le les tirer pour qu'elle penche la tête vers le sol. Se fut à se moment que Gabriella reprit la parole :

- Tu ne fait pas le poids mere grand. Tu devrais t'avouer vaincu, cela t'évitera de te faire umilié.

Elle aussait s'en prendre à Gab sans même la connaitre et cela en était vraiment risible. La jeune femme secoua la tête out en fixant les yeux sombre de son nterlocutrice.

Bonne a enfermée.. J'crois qu'elle s'est pas regardée. Je la regardai et ne vis rien venir, elle m'avait fait tomber à terre et en plus elle me tirait les cheveux. Horreur, il va falloir que j'les laves. Elle croit que je vais la laisser gagner comme ça, elle a rêvé. Je posai ma main sur l'arrière de sa tête et lui baissa, ce qui fit que sa tête se cogna contre le sol. Je me relevai et me recoiffai vite fait.

- Ah oui ? Tu penses ?

Oh que oui elle le pensait et elle n'était pas prête à changer d'opignon et ce peut lui importait l'issue de la confrontation qui avait lieu entre Melissa et elle même. Gab était en colère au point qu'elle était capable de tout faire pour se calmer, même si cela impliquait le fait de donner une bonne leçon à la vieille bique qu'elle avait en face d'elle.
La jeune femme la mit sa langue entre sa gencive inférieur et sa lévre, elle le faisait tout le temps lorsqu'elle avait une idée terriblement stupide en tête. Gabriella était convaincu que si elle faisait ce qu'elle avait dans l'esprit, elle risquait de se créer pas mal d'ennuis par la suite alors pour le moment, elle prit juste la parole :

- Oui j'en suis absolument et puisque tu pose la question s'est que tu sais que quoi que tu fasse, tu n'arrive pas à grand chose contre moi la vieille bique.

Gab avait lancer ces quelques mots dans l'intention de blaisser la cinglée qui était la seule responsable de toute cette histoire, puisque s'était elle qui avait lancé les hostilités verbales.

Si elle croit qu'elle me fait peur, ça fait tout le contraire. Elle a besoin d'aide la p'tite, elle a sûrement un manque d'attention de ses proches donc elle se rend intéressante. 'Fin j'connais pas sa vie hein mais on faut qu'elle se calme parce qu'elle prend un peu trop la confiance là. Et ça me plait pas, elle a dû le comprendre ça.

- Ma pauvre, je savais que t'étais c*nne mais quand même pas à ce point, tu m'inquiètes beaucoup trop là. J'arrives à beaucoup de choses, t'abandonneras même tellement que tu en auras marre. Tu fais pas le poids ma belle.

La vieille bique était en train de prendre réellement la tête à Gabriella et mais elle n'avait pas l'intention de baisser les bras pour autant. Elle n'avait pas la lâcheté pour trait de caractére et elle allait le montrer à la folle qui se permettait maintenant de l'insulter. Gab mit sa main devant sa bouche avant de faire semblant de bailler. Elle prit ensuite la parole pour mettre les choses au claire avec la vieille bique.

- Tu va tout de suite me présenter des excuses si tu ne veux pas que je m'ennerve pour de bon cette fois-ci. Je ne te permets pas de m'insulter alors que s'est toi qui est la fautif dans toute cette histoire.

Gab attrappa la folle par le col de son haut avant de la pousser violament vers l'arriére. Elle avait bien l'intention de lui montrer qui était le chef dans cette situation et Gab connaissait trés bien la réponse à cette remarque, elle et personne d'autre.

C'est une des seules où une personne me fait autant pitié. Elle me fait beaucoup de peine même. En plus elle continue et veut me donner des ordres que je respecterai pas surtout venant d'elle.Faut pas se foutre de la gueule du monde non plus.

- Moi ? Te présenter des excuses ? Ma pauvre t'as dû rêver parce que j'le ferai pas. Je regrette en aucun cas ce que je t'ai dis ou fais donc je m'excuserai pas. Je t'insulte si je veux, que je soies la fautive ou pas.

Je ricanai même après qu'elle m'ait pousser. Je décidai de pas répondre à ses attaques, l'ignorance est le meilleur moyen.

Gab fixait la jeune Hastings alors que celle ci avait été poussée par la jeune Lonfort qui exultait intérieurement. La réplique qu'avait dite Mélissa n'était pas pour plaire à Gabriella, mais au moins, la folle n'avait pas répliquer lorsqu'elle l'avait poussée par les deux épaules. Pour Gab, s'était un début de victoire et elle n'avait pas l'intention d'en rester là.
La jeune fille pencha légérement la tête en avant tout en gardant ses yeux dans ceux de la vieille bique avant de prendre la parole :

- Alors dit donc, tu as perdu ta combativité?

Cette phrase fit sourire Gab qui continuait de regarder la femme qui l'avait heurtée un peu plus tot, lançant ainsi les hostilités entre les deux filles. Gabriella attendit une ou deux secondes avant de reprendre :

- Tu s'est quoi la vieille bique, tu as bien raison en affirmant que tu es la résponsable de tout cela et la logique veux que tu t'excuse, mais tu as sans doute été mal élever et dans se cas se n'est pas vraiment de ta faute. S'est plus celle de tes parents.

Gab ne savait pas vraiment se qu'elle cherchait en disant cela, mais elle avait hâte d'en connaitre le resultat.

Je la regardai, cette fille - dont je sais pas son prénom et j'ai nullement envie de le savoir - aime trop s'approcher des gens quand elle parle. Comme je n'ai pas répliqué après qu'elle m'ait poussé, elle croit que j'ai décidé d'en rester là mais non, j'essaye juste d'être plus intelligente qu'elle et de lui montrer qu'elle seule à tord dans cette histoire. Parce que bon si elle aurait pas dit je sais pas quoi de galoper à cheval, on en serait pas venues là. Elle ne peut que s'en prendre à elle-même après tout.

- Je n'ai pas perdu ma combativité, loin de là, je veux juste que tu réalises que c'est plus toi que moi qui cherches les ennuis.

Je regardai la jeune fille qui venait à nouveau de me traiter de vieille bique alors que j'en suis pas une.

- J'en suis quand même pas la totale responsable, donc tes excuses sont aussi les bienvenues ma p'tite. J'aime pas les choses logiques, c'est dommage, non, tu trouves pas ? Je suis bien élevée, j'ai seulement pas envie d'être aimable et élevée avec une garce écervelée et complètement jetée.

Je fis des gros yeux. D'où elle ramenait mes parents dans l'histoire ? Elle n'avait strictement pas à parler d'eux et encore moins pour dire du mal d'eux.

- Parles surtout pas de mes parents parce que je te promets que tu vas vraiment le regretter. J't'ai p'têtre manquer de respect mais pas au point de traiter de parents. En plus tu les connais même pas, donc je te donne même pas le droit de les juger de la sorte. Imbécile va !

Comment la vieille peau hosait s'en prendre de la sorte à Gabriella tout en lui disant ce qu'elle devait faire ou non était un mystére, mais lorsque l'on connaissait bien la jeune fille, il était visible qu'elle n'était pas du genre à ce laisser faire et cela lui importait peu de savoir à qui elle avait à faire.
La jeune fille ne pu se retenir plus longtemps puisqu'elle lanca à la folle dingue son rire diabolique qu'elle ne faisait jamais résonnait exprés.
Gab attendit quelques petites minutes avant de prendre la parole :

- Tu n'es en aucun cas en possition de force dans ce combat alors tu n'es pas mieux placé pour me dire ce que je suis en droit de dire et sur qui.

Gab attendit un peu avant de sortir une nouvelle réplique concernant les parents de la vielle femme. Elle savait bien qu'elle n'était pas si vieille que cela, mais le fait que cela ennervait son interlocutrice avait tendance à lui plaire alors elle reprit :

- Tu sais vieille bique, je n'ai pas besoin de connaitre ta famille pour savoir ce qu'ils valent en réalité. Non, pour cela il me suffit juste de voir leur enfant. Toutefois, j'espére lourdement qu'ils ont pensés à casser le moule aprés ta venue au monde parce que le monde serait vraiment mal barré avec deux personnes comme toi. Au fait tu as des fréres ou des soeurs?

Cette question correspondait à une demande qui était souvent utiliser dans une conversation civilisé et celle qui était en cours n'était pas vraiment de ce genre, mais Gab avait ses raisons de demander à sa proie ce qu'elle venait de demander.

Maintenant elle sort des rires bizarres. On aura tout vu avec elle sérieux. C'est vraiment une folle à lier.

- Je suis peut-être pas en position de force mais.. On t'as jamais dis qu'il faut respecter les adultes , les gens plus grands que soi ?

Cette fille faisait preuve d'une grande impolitesse. Comme je l'ai déjà dis avant, elle était pire que Spencer et m'insupportait encore plus qu'elle. Agressive, imbécile elle a tout les défauts du monde possibles. La pauvre je la plaint. Je crois que le surnom " Vieille bique" je m'en souviendrais toujours, elle fait que de le répéter et elle s'en lasse pas à ce que je vois. J'pense qu'à chaque foi qu'elle va me revoir - j'espère qu'on va pas se revoir- elle va m'appeler comme sa donc autant la laisser faire.

- Ne critique pas mes parents, je te l'ai déjà dis et je te le dirais jusqu'à ce que tu arrêtes. T'es obligée de critiquer quelqu'un d'autre que moi pour que ça m'atteigne ? Laisse moi te dire que si tu continues à faire ça, tu le regretteras toute ta vie. Oui j'ai une soeur. Spencer Hastings. Elle est au lycée de Rosewood, mais à ce qui paraît elle a pas le même caractère que moi pour ça qu'on s'entend pas. 'Fin bon, j'espère que tu sympathisera pas avec elle, j'ai pas envie qu'elle devienne comme toi.

Alors comme cela, la vielle peau avait une soeur plus jeune qu'elle qui n'avait pas le même caractére qu'elle. Pour Gab, s'était une chance, car une personne comme Melissa était déjà beaucoup alors une deuxiéme serait un vrai manque de bol.
Gabriella fixait la jeune femme avec un sourire sur le visage avant de prendre la parole :

- Je ne sais pas si je deviendrait ou non amie avec ta soeur si je fais sa connaissance un jour, mais je ne suis pas sur que tu devrais t'inquiété de la voir me ressembler. A ta place j'aurais peur qu'elle te ressemble un jour.

La Gabriella avait dit se qu'elle pensait réellement. Elle n'avait pas un mauvais caractére en temps normal, mais lorsqu'elle se retrouvait en face d'une personne qui l'agressait pour un oui ou pour un non, elle s'emportait au moindre pique de la part de cette même personne.
Gab attendit quelques petites secondes de plus avant de reprendre la parole :

- Non, je n'ai pas du tout besoin de cela pour t'atteindre, mais puisque tu réagis au quart de tours avec cela, je suppose qu'en effet cela t'atteint et de certaine maniére cela est assez jouissif pour moi.

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